Le chaos chez Uber, signal d’alarme pour la Silicon Valley ?La fête est finie pour le trublion Uber. L’échec est là, assène à sa une le magazine américain Timedans son édition datée du 26 juin prochain, qui voit dans la profonde crise traversée par l’entreprise californienne un moment clé pour toute la Silicon Valley. “Cet endroit, qui s’est présenté comme l’espoir d’un avenir pour l’économie américaine, génère aussi un peu d’inquiétude”, souligne l’hebdomadaire. “La Silicon Valley n’a jamais connu une crise de confiance comme celle-ci.”Le patron bagarreur d’Uber, Travis Kalanick, a finalement annoncé le 13 juin qu’il se mettait en congé de l’entreprise pour une durée indéterminée. Une absence qu’il décrit comme un temps pour faire le deuil de sa mère, décédée récemment dans un accident, mais aussi pour travailler sur lui-même. “Si nous travaillons sur l’Uber 2.0, j’ai également besoin de travailler au Travis 2.0 afin de devenir le leader dont a besoin cette entreprise et que vous méritez”, a-t-il écrit à ses employés.
La fête est finie pour le trublion Uber. L’échec est là, assène à sa une le magazine américain Timedans son édition datée du 26 juin prochain, qui voit dans la profonde crise traversée par l’entreprise californienne un moment clé pour toute la Silicon Valley. “Cet endroit, qui s’est présenté comme l’espoir d’un avenir pour l’économie américaine, génère aussi un peu d’inquiétude”, souligne l’hebdomadaire. “La Silicon Valley n’a jamais connu une crise de confiance comme celle-ci.”Le patron bagarreur d’Uber, Travis Kalanick, a finalement annoncé le 13 juin qu’il se mettait en congé de l’entreprise pour une durée indéterminée. Une absence qu’il décrit comme un temps pour faire le deuil de sa mère, décédée récemment dans un accident, mais aussi pour travailler sur lui-même. “Si nous travaillons sur l’Uber 2.0, j’ai également besoin de travailler au Travis 2.0 afin de devenir le leader dont a besoin cette entreprise et que vous méritez”, a-t-il écrit à ses employés.