Un chauffeur Uber n'est pas un salariéUn chauffeur Uber est-il un salarié comme un autre ? Non, vient de décider le Tribunal des Prud'hommes de Paris. Il déboute un chauffeur qui espérait obtenir la reconnaissance du statut de salarié. Ce jugement est une première en France. Le dossier du plaignant était pourtant solide. Plus de 4 000 courses avec Uber en moins de deux ans. Il réclamait donc des indemnités de congés payés et pour travail dissimulé, demandait le remboursement de ses frais professionnels. Mais la justice française a estimé qu'il avait « toute liberté pour travailler selon les horaires et les jours qui lui convenaient », ce qui n'est pas le cas d'un salarié.
Un chauffeur Uber est-il un salarié comme un autre ? Non, vient de décider le Tribunal des Prud'hommes de Paris. Il déboute un chauffeur qui espérait obtenir la reconnaissance du statut de salarié. Ce jugement est une première en France. Le dossier du plaignant était pourtant solide. Plus de 4 000 courses avec Uber en moins de deux ans. Il réclamait donc des indemnités de congés payés et pour travail dissimulé, demandait le remboursement de ses frais professionnels. Mais la justice française a estimé qu'il avait « toute liberté pour travailler selon les horaires et les jours qui lui convenaient », ce qui n'est pas le cas d'un salarié.